L'objet illustre un article alléchant de Jacky Durand intitulé "Girolle et j'y reviens".
Arf, le sympathique cryptogame ici représenté est (au mieux) un lactaire poivré, (mais je ne suis pas mycologue).
Bon, on ne va pas en faire tout un plat, c'est encore le documentaliste qui va porter le chapeau.
3 commentaires:
Si dans un spore à risque le documentaliste nous trahit...Alors à qui va t'on faire confiance?
Au pharmacien?
A l'entraîneur?
Au président?
Dans la composition qui en est faite et qui évoque le gigantisme (ce qui absout l'iconographe et redonne sa responsabilité au directeur artistique) j'y ai vu la queue d'une baleine… Un spore à risque, certes, décrit avec soin par Monsieur Hermann Melville… :-)
La légende en est d'ailleurs explicite : "la girolle est belle, et cétacé", ce qui dédouane un peu le directeur artistique pour son erreur, lui qui en se marrant tout seul à la lecture de son calembour, n'a pas vu qu'il s'agissait en fait d'un cachalot.
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